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Éditeur d'Innovation Culturelle MA'A* | hello@monagendart.com | N°38 MAI 2020 
...est la nouvelle destination des découvreurs défendant le meilleur de l'Art, de l'Architecture et du Design afin de réinventer votre style de vie contemporain.
Mutants and Liquified | 2012 | Bart Hess©
MYTHES & HYBRIDATIONS
#RegardsCroisés
LA FABRIQUE ARTISTIQUE
100ecs #FabienneRousseau 
UNE CARTE BLANCHE 
#JoséManLius
UNE VISITE VIRTUELLE 
#ExpositionCollective

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Souvenez-vous, le confinement a été amorcé le 17 mars à midi. Cela fait donc plus de 40 jours que nous vivons sans théâtre, ni cinéma, ni bibliothèque, ni musée, ni librairie, ni galerie. Et pourtant, nous consommons collectivement des produits culturels plusieurs heures par jour, sans reconnaissance pour les artistes qui les ont créés. Bref, l’Art et la culture se dégustent en mode pot de confiture, au risque de sentir un arrière-goût amer sans doute lié au manque de suc vital, celui qui rend plus vivant au contact de l’autre et des autres. Pour éviter la diète, et le dépérissement culturel, CULTURAMA N°38 vous propose d’explorer une exposition en suspens, comme un événement culturel hors du temps, sur le thème « Mythes & Hybridations », alors qu’une chimère d’un genre inédit traverse nos territoires et remet en question nos modes de vie. Prenez soin de vous et de vos proches, en restant chez vous.

Chronique d'une exposition reportée à cause du coronavirus
MYTHES & HYBRIDATIONS
Regards croisés
La Réconciliation | Collage numérique | 2014 | Thierry Lo-Shung-Line©

« MYTHES & HYBRIDATIONS » est un projet collectif coordonné par José Man Lius à l’invitation de l’espace contemporain du 100ecs. Il s’agit d’un dispositif scénographique représentant de façon poétique la naissance de nouvelles pratiques sociales et culturelles. Cette exposition collective explore les différentes facettes de l’hybridation sous l’angle artistique, scientifique et social, grâce à la collaboration avec les artistes plasticiens Eizo Sakata, Jean Isnard, Thierry Lo Shung Line, et les artistes performeurs Lanah Shaï, Dana Mussa, Jean-Marie Lavallée et KONPYUTA (Simon Girard).
 

+d'infos : Exposition et soirées performances reportées au mois de novembre ,
du jeudi 05 novembre au samedi 28 novembre 2020.

Le 100ecs
LA FABRIQUE ARTISTIQUE 
Fabienne Rousseau #FR
1er prix 100 Art Talents Experience | 2019 | Sophie Lanoë, Curatrice©


« Nous réinventons notre identité à partir de l’ensemble des valeurs et des influences culturelles. »

« La Pensée métisse », Serge Gruzinski, Paris, Fayard, 1999.

Eric de MA'A* : Créé en 2008, le 100ecs, première fabrique artistique d'ateliers mutualisés, accueille 1500 artistes chaque année. Comment décririez-vous ce lieu au public qui ne peut pas se déplacer en ce moment ?

Fabienne Rousseau : Auparavant, le 100ecs (établissement culturel et social) était réservé aux professionnels. Nous avons ouvert depuis cinq ans une partie du lieu au public. Nous proposons une programmation mensuelle pluri-artistique mariant les Arts plastiques et les Arts vivants, autour d'un thème différent à chaque fois. Les thèmes abordés s'ancrent dans des questionnements sociétaux portant un regard sur notre monde en mutation. Nous organisons aussi régulièrement des rencontres et des débats dans le cadre d'universités populaires.

Exposition Im-NATURE | 2019 | Sophie Lanoë, Curatrice©
Les journées culturelles de l’Écologie

Eric : Après un mois de confinement, et l’annonce de sa prolongation pour les lieux culturels au moins jusqu’en juillet, que pouvez-vous nous dire de la saison à venir ?

Fabienne : Dans cette prochaine saison qui s'annonce quelque peu perturbée, nous traiterons de la Cruauté du monde « Et vivre dans un monde cruel », de la Différence « Celui que je ne connais pas », de l'Écologie, mais aussi de l'Étrange dans l'Art et le Design. Nous aimons ouvrir notre champ de réflexion à des sujets culturels divers. C'est ce qui fait toute l'originalité du lieu.

 

+d'infos

Mythes & Hybridations
UNE CARTE BLANCHE
José Man Lius #FR
Trois sirènes | Gravure couleur | 1817 | Anonyme
Greffes de peau en peau de poisson Tilapia pour soigner les grands brûlés | 2017 | Brésil

Eric de MA'A* : Dans le cadre de votre « Carte Blanche » au 100ecs, pourquoi avez-vous choisi la thématique « Mythes & Hybridations » ?

José Man Lius : J’ai rencontré l’équipe du 100ecs lors de la résidence d’artistes 100 Art Talents Experiences #01 en 2018 organisée par Sophie Lanoë, commissaire d’exposition. L'idée d’une exposition a été envisagée dans le cadre d’une Carte Blanche, une approche particulière qui permet de puiser librement dans les ressources artistiques du lieu pour mettre en espace un univers à travers une thématique, ici la notion d’hybrides, dans une perspective d’Art global transdisciplinaire.

 (Série) Rot in paradise | 2018 | Hungry & Studio Prokopiou©
De nombreuses œuvres d’Art hybrident les formes, les genres, les espèces. Elles désordonnent et réordonnent librement les catégories. Elles nous incitent ainsi à échapper à toute logique préétablie afin d’explorer le potentiel de significations d’un monde en perpétuelle mutation. L’hybridation apparaît comme une classification particulière de l’œuvre d’Art sans pour autant nier l’évolution des Sciences et des sociétés. Je propose dans un premier temps d’échanger et de croiser les regards. Des artistes apportent leur témoignage, exposent leur conception et leur utilisation de l’hybridation à des fins poétiques, subversives, critiques et politiques.
Donner naissance à une nouvelle espèce « K_9 Topology » | Expérimentations et transgressions | 2014 | Maja Smrekar©
Premier sperme féminin | Création de sperme à partir de ses cellules souches | 2017 | Charlotte Jarvis©
L’exposition interroge les multiples facettes des « Mythes & Hybridations » entre Arts, Histoire et Sciences, évoquant ainsi les interactions entre ces disciplines. Les mythes prennent souvent forme à partir d’êtres hybrides monstrueux aux pouvoirs divins, et caractérisent les grands récits fondateurs des civilisations anciennes. Dans l’Odyssée d’Homère, le plus célèbre des géants, le Cyclope Polyphème est « un monstre gigantesque », Scylla est une chienne à douze pattes et six têtes, pour ne citer qu’eux. Pourtant hybrides, chimères, monstres, créatures légendaires et mythiques peuplent l’esprit des hommes depuis la nuit des temps sur tous les continents.
Cremaster 5 | 1997 | Matthew Barney©

Les chimères inventées par l’Art contemporain tiennent à la fois de l’animal antique et de la combinaison moderne. Les artistes intègrent à leur manière les récits et mythes d’origine, à la fois en transcendant notre rapport au réel et en questionnant de nouveaux possibles. Des « Demoiselles d'Avignon » de Pablo Picasso aux « Refigurations » d’Orlan. Des chimères de Thomas Grünfeld aux détournements culturels de Yinka Shonibare. De mes sculptures organiques aux fécondations inter-espèces de Maja Smrekar.

Les scientifiques utilisent l’hybridation pour corriger, réparer, transformer, et l’Art questionne les nouveaux paradigmes qu’ils induisent dans nos sociétés dans un avenir plus ou moins lointain !

 

« L’humain est capable de modifier les gènes de la vie pour effectuer des manipulations incroyablement puissantes sur le vivant animal, végétal mais aussi humain avec pour l’instant des barrières éthiques. Qu’adviendra-t-il des programmations génétiques si elles étaient utilisées à des fins mercantiles ou idéologiques… »

« Sapiens, Une brève histoire de l'humanité », Yuval Noah Harari.

L'absence de maîtrise de l'homme | Autoportrait vidéo | 2010 | José Man Lius©

Eric : Comment intégrez-vous les hybridations dans votre travail ?

José : Le mélange des genres stimule ma pratique artistique. En particulier, l’hybridation des gestes, des matériaux en lien avec la peau et les espaces questionne et redimensionne le corps en tant que surface ou zone frontière entre intérieur et extérieur. Cette pratique se manifeste dans les techniques de la performance, de l’installation, de la vidéo, de la photographie, et du dispositif interactif où je sollicite la participation active du public. 

Bio vs OGM | Installation | Hybridation Nature-Artifice | 2013 | José Man Lius©

Par exemple, mon projet « Bio vs OGM » propose des dessins/sculptures biomorphiques qui explorent la relation entre Nature et Artifice. C’est une expérience d’hybridation biologique Bio Art sur pomme, où la coupure de la peau suivant des tracés variés a pour effet de sculpter naturellement le fruit. En effet, les conservateurs utilisés perturbent radicalement le processus de pourrissement. J’utilise la pomme, fruit défendu, symbolisant le péché originel pour questionner l’évolution des produits alimentaires que nous consommons à grande échelle. La pratique de la scarification sur la peau du fruit modifie le processus de vieillissement. Mais scarifier n’est pas seulement un acte scientifique, c’est aussi une prise de position combattante ; cela renvoie aux pratiques des tatouages tribaux des peuples océaniens (les Maoris), aux pratiques de scarifications et mutilations sociales en Afrique (Les Moose au Ghana). Tout en sachant qu’à l’époque du commerce triangulaire, la mutilation permettait d’échapper à l’esclavage.

COLONIES | Sculpture & photographie numérique | 2020 | José Man Lius©

Eric : Parlez-nous de votre installation pour cette exposition ?

José : Le projet COLONIES est un dispositif de formes et d'images répétitives « de peaux » et une série de « chaussures navires » reliées par des chaînes. Le tout s'organise comme un espace commémoratif, composé de photomontages numériques (Corset social), de découpes de cuir au laser (Drapeaux, Lances).

COLONIES renvoie au biologique, avec ces populations humaines déplacées, et bien sûr à l’Histoire de la colonisation par ces trajectoires d’hommes et de femmes, esclaves, dont la peau ne valait pas cher.

L’opposition entre les lambeaux et la symbolique des drapeaux, qui affirment habituellement un territoire ou une victoire guerrière, invite le public à résister comme ces foules d’anonymes, contre toutes formes d’esclavagisme (sexuel, économique, social etc.). Les fragments de corps, tout comme les peaux déchirées, témoignent de l’unicité de l’espèce humaine tout en les confrontant aux attributs guerriers. L’œuvre composée de sculptures profanes affirme, par le biais d’objets courants, la récurrence d’un combat pour la liberté et les valeurs démocratiques. Les « chaussures navires » révèlent par l’intime un voyage qui met en chaînes et déracine pour rejoindre une destination inconnue sur une terre différente de celle des origines.

Études « 3ème peau » | Découpe & lacérations sur cuir | 2018 | José Man Lius©

L’espace est structuré par les photomontages du Corset social, évocateurs des influences extérieures qui estampillent les peaux aussi bien que les esprits, dans un monde où les « marques » commerciales n’ont jamais été aussi présentes. Qu’est-ce que le marquage si ce n’est une tentative de signature, et par conséquent d’appropriation ? La réalisation de cette partie du projet repose sur le traitement numérique de photographies de peaux nues avec des motifs de cuir de Cordoue qui sont détournés en graphismes, non sans évoquer le tatouage virtuel. C’est la juxtaposition des « marquages » qui procure au corps une identité sociale. Dans cette démarche artistique, la confluence des représentations révèle au regard une peau habituellement cachée : le corset social. Que la peau soit embossée, tatouée, agrafée ou balafrée, le rôle qu’elle tient ici est bien celui du masque ou du vêtement. La neutralité de la nudité et l’illusion de l’intime n’existent plus.

COLONIES | Sculpture & photographie numérique | 2020 | José Man Lius©

Eric : Qu’est-ce qui, selon vous, caractérise votre regard ?

José : L'Exotisme, peut-être ? Puisque par définition, c'est ce qui vient de loin de l'extérieur de soi. On me demande souvent d’où je viens et qu’est-ce que la « singularité » de mes origines apporte sur le terrain artistique ou dans les courants d’avant-garde ! À cela, je réponds que venant des Caraïbes, fort d'une histoire ancrée dans la grande Histoire, j’intègre forcément l’hybridation dans mon ADN ! Je viens d'une culture croisée, fruit de multiples métissages ancrés sur quatre continents via l’Histoire des Amériques.
Corset social | Photographie numérique & scarifications virtuelles | 2017 | José Man Lius©

Eric : Comment avez-vous choisi les artistes associés à cette démarche ?

José : Tous les chemins mènent à Rome et tous les artistes se croisent à Paris, capitale aux multiples visages ! C’est une suite de concours de circonstances et de rencontres artistiques, d'écoles de l’amitié, de collaborations de longue date et d'expositions dans des festivals, biennales, résidences d'artistes qui m’ont conduit à inviter Dana, Lanah, Thierry, Jean, KONPYUTA, Jean-Marie et Eizo à participer.

La route des Caravelles | Installation de chaussures-navires | 2020 | José Man Lius©

Eric :  Que ressort-il du croisement des différents regards artistiques ?

José : La cartographie d’une diversité culturelle générationnelle qui correspond aux prises de consciences des mutations de la société du 21e siècle ! Un espace de liberté ! J'espère que le public pourra trouver une cohérence scénographique qui met en valeur les écritures des uns et des autres et une certaine fraîcheur.

 

+d'infos


« L'hybridation comme tactique de résistance ». 
Patrick Chamoiseau

Mythes & Hybridations
UNE VISITE VIRTUELLE
Exposition collective

Loupe de peuplier | 2019 | Bois et PMMA (Altuglas) | Jean Isnard©

JEAN ISNARD #FR
Sculpteur
Jean Isnard explore les innombrables alliances de matériaux aux propriétés contradictoires. Quand le bois épouse l'Altuglas, la lumière, la transparence, l’ombre et les reflets se fusionnent avec les tensions et les nervures. C’est une œuvre en mouvement attisant le désir et la sensualité. Par l’évocation de peaux, de mues, de paysages, il s’agit de retrouver un lien avec l’homme et la nature, à travers l’outil informatique et industriel.
 
Selfie | 2019 | Impression numérique | Lanah Shaï©
LANAH SHAÏ #FR
Performeuse multimédia

Dans nombre de civilisations apparaît, avant la distinction entre l’homme et la femme, la figure de l’androgyne, de l'intersexué ou de l’hermaphrodite : un être hybride qui possède de façon indifférenciée les caractéristiques de l’un et de l’autre sexe. Bien que ces êtres aient toujours existé, leurs noms devinrent tabous et synonymes d’anomalie. Avec les Gender Studies et les revendications des personnes trans et non binaires, les identités hybrides sont devenues politiques et remettent en question l’organisation patriarcale traditionnelle.
 

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YIO | Your Interactive Music | 2019 | Jean-Marie Lavallée & José Man Lius©

JML & JML #FR
Orchestre interactif

YIO propose une odyssée sensorielle à travers un océan tridimensionnel d’algorithmes sonores. Les mouvements de chaque visiteur permettent une exploration de l’espace car ils sont associés à un (ou plusieurs) instrument(s) de l’orchestre et aux interactions harmonieuses des mélodies plurielles formées.
 

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Nous avons rendez-vous où les océans se rencontrent | Collage numérique | 2014 | Thierry Lo-Shung-Line©

THIERRY LO-SHUNG-LINE #FR
Plasticien

La création des « icônes créoles » vient d’une interrogation liée aux origines ultra-marines de Thierry Lo-Shung-Line. Il est en effet originaire de l'île de la Réunion, au sein de l'archipel des Mascareignes, au confluent de peuples venus d'Afrique, d'Asie et d'Europe. Ses racines sont multiples et sa conscience est composée d'images issues de cette culture plurielle. « J’ai là une matière, un espace avec lesquels mon imaginaire s’exprime ». Ses créations résonnent avec les œuvres d’Édouard Glissant, de Patrick Chamoiseau et d’autres écrivains, poètes, philosophes, visionnaires-rêveurs de mondes.
 

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DESS(E)INS | Encre de chine et eau de mer | 2018 | Eizo Sakata©

EIZO SAKATA #JP
Plasticien

Eizo Sakata est un artiste né à Toyohashi au Japon, vivant à Paris et travaillant in situ dans des contextes très différents les uns des autres. Sa création s’étend à des domaines variés comme la peinture, le land Art, et la performance. C’est sa manière d’évoquer ses préoccupations écologiques, et d’intervenir dans la nature. L’eau, principale composante du vivant, est souvent au centre de ses œuvres récentes, mêlant l'eau de mer et l'encre de Chine.
 

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KONPYUTA #FR
Musiciens vidéastes

Konpyuta (ordinateur en japonais) est un duo de vidéastes français fondé en 2011. Centrée autour de la performance audiovisuelle, leur approche de la vidéo est plastique. Ils s’emparent autant du flux de leur synthétiseur que de ceux, incessants, du web pour vous immerger dans leurs abstractions électriques. 
 

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YIM | Intelligence artificielle | 2017 | Jean-Marie Lavallée © 

JEAN-MARIE LAVALLÉE #FR
Compositeur

Compositeur, inventeur et développeur d'intelligence artificielle musicale, Jean-Marie Lavallée a créé une façon d'aborder la musique qui révolutionne notre façon d'utiliser les objets connectés. Musicien hors cadre, il pratique une cinquantaine d'instruments à cordes venus du monde entier : du sarangi au violoncelle classique. Des concepts compositionnels, inspirés du jazz et de la musique ancestrale indienne, ont été traduits en algorithmes informatiques. C'est le cœur du système YIM.
 

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DANA MUSSA #KZ
Chorégraphe

Danseuse et chorégraphe originaire du Kazakhstan, Dana Mussa est arrivée en France en 2010. En 2018, elle s'est fait remarquer à l'émission TV grand public « La France a un incroyable talent » avec sa performance « Chance to dance » qui fut primé au Golden Buzzer.

Jean-Marie Lavallée et Dana Mussa proposent, pour l’exposition, une performance intitulée HYBRID’AMARYLLIS (ГИБРИДТІ). Cette improvisation chorégraphique et musicale retrace l’évolution de la danse et de la musique à travers le temps. Tribales à l'origine, nos sociétés ont évolué avec, en parallèle, les mutations de ces arts jusqu’aux hybridations entre homme et machine. Ces changements seront évoqués pour proposer au final un retour à l’humain.

 

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ANNEXE
Sceau sumérien représentant les Anunnaki | Mythe sumérien polythéiste fusionnel à l’origine de la genèse du monothéisme | env. 3000 avt JC.
Alba | Transfusion de protéines responsables de la fluorescence des méduses dans le génome d'un lapin | 2000 | Eduardo Kac©
Couverture du magazine Fruits de Shoichi Aoki | Livre de photos de mode prises dans Harajuku, quartier de Tokyo, entre 1995 et 1999 | Éditeur : Phaïdon©
Afrique du Sud | Carmen Solomons©

CULTURAMA


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CULTURAMA HOMEMADE #6 / EIZO SAKATA

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Rédaction

 
Barbara Marshall | Grigoriy Manucharian | José Man Lius 
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